Lydia Riduet, installe son atelier dans la fabrique au 1er étage et deux artisanes en création textile, avec leur marque rue du muguet et Dame Line exposent pour la première fois dans notre boutique.
C’est aussi notre Bistrot Court-Circuit , ses bons petits plats, les produits frais de saison et Bio-Locaux, les jeudis, vendredis et samedis à partir de 11h00.
A kaleidoscope of nothingness est une imbrication entre le texte et la photographie née de la rencontre entre Kit Brown et Dejan, en octobre 2009 dans un atelier parisien…
Une oscillation entre le côté figé des choses représentées (des mots, des corps photographiés, des corps écrits, des photos de mots) et le cadre fluide dans lequel elles évoluent. Une installation protéiforme qui envahira tout l’espace pendant un mois.
Ce que l’on fixe et ce qui traverse… ce que l’on crée et ce qu’il en reste…
Entre ça n’existe pas en soi, ça n’a pas de lieu, c’est nulle part.
L’entre est toujours en creux, produit par l’écart et la mise en tension qu’il crée.
L’entre, si on s’y tient, c’est là aussi qu’on va pouvoir s’entretenir, tenir ensemble.
Créer de l’entre pour faire émerger de l’autre.
C’est seulement à partir de là peut-être qu’il peut y avoir du commun breitling nachbau.
Tout en dégustant les bons petits plats du Bistrot Court-Circuit, vous pourrez écouter des histoires de musique et des musiciens de L’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté. Jéröme Thiébaux, délégué général de l’orchestre, joue avec plaisir le rôle de conteur, un jeudi par mois, sous la verrière breitling falso.
Les prochains rendez-vous : 19 février, 12 mars et 16 avril.
Réservation repas : 06 22 11 65 46 – Entrée libre sous réserve des places disponibles.
Miqi O : funk/cumbia/psyché/hip-hop/electro. Les disques de Miqi O ne sont pas d’acétate (il travaille sur ordinateur), mais ses sélections sont granuleuses et organiques et envoient des impulsions incontrôlables du popotin jusqu’aux doigts de pieds.
Thèmes abordés : la musique dans les camps (l’opéra Brundibar notamment… où Hitler incarne le personnage d’un gros méchant bourdon)… je vous l’accorde ce pas un thème qui a l’air hyper hyper joyeux vu comme ça mais la musique composée dans les camps et aussi pleine d’espoir et de vitalité ! C’est aussi la période, au niveau du calendrier, des 70 ans de la libération d’Auschwitz… et en ces temps actuels de la montée de “la peur des autres”, il est important de défendre un message de paix, de liberté et de tolérance.
Réservation repas : 06 22 11 65 46 – Entrée libre sous réserve des places disponibles
Son premier roman graphique, Punk Rock & Mobile Homes, a été consacré comme l’un des meilleurs romans graphiques de 2010 par Booklist.
Puis Mon ami Dahmer est publié en 2012 aux États-Unis et primé au Festival d’Angoulême 2014 (Prix Révélation).
Derf Backderf a passé son enfance à Richfield, petite ville de l’Ohio située non loin de Cleveland. En 1972, il entre au collège, où il fait la connaissance de Jeffrey Dahmer, un enfant solitaire au comportement un peu étrange. Les deux ados se lient d’amitié et font leur scolarité ensemble jusqu’à la fin du lycée. Jeffrey Dahmer deviendra par la suite l’un des pires serial killers de l’histoire des États-Unis.
Association Chifoumi
Derf Backderf
Avec une performance mélangeant spoken word et musique lo-fi de Tenko Texas Seduction meets Dejan
Bucheron scandinave pour pop-folk intimiste… Dad Rocks! est le projet d’un homme touche-à-tout au prénom imprononçable : Snævar Njáll Albertsson.
Jouant sur l’ironie et la dérision, le groupe se métamorphose sur scène et offre des chansons aux mélodies implacables portées par des arrangements raffinés à base de trompettes, flûtes, cordes et choeurs. Anti-folk et anti-rock à la fois.
30 minutes NRV nous propulse dans un chaos d’électro-rock explosif. Le poète se répand en harmoniques destroys, tire sur le son comme sur un élastique et nous engloutit dans les méandres de l’Atari. Un appel à la tectonique des corps que l’on peut plaisamment qualifier de son qui pète.
Ce n’est pas la première fois que nous accueillons ces mulhousiens dans nos murs et on est très content de les revoir.
PJ@Melor, dont quatre des musiciens sont aussi des plasticiens, c’est une voix, du bruit, deux basses, une guitare, une batterie et du désir !